Insuline : définition, rôle, effets et dangers en cas de prise exogène

Insuline : définition, rôle, effets et dangers en cas de prise exogène

Les hormones sont sécrétées par des glandes dont la taille et le type de cellules qui composent ces glandes sont très variables d’une hormone à l’autre. Les hormones dérivent du cholestérol, des protéines, des acides aminés (éléments entrant dans la composition des protéines, comme les briques d’un mur). L’étude
de cette partie de l’organisme permet de comprendre le lien entre le système
nerveux et le système hormonal, elle montre également qu’il existe une hiérarchie
entre les hormones et ce qu’est une rétrorégulation.

  • Parmi
    celles-ci, citons les STATs (Signal Transducer and Activator of Transcription)
    qui sont des facteurs importants dans les régulations de transcription
    impliquées dans les effets physiologiques de nombreuses sémiomolécules (figure 9-37).
  • L’anomalie réside ici en un défaut de
    synthèse du récepteur ; il en résulte des individus génétiquement
    mâles mais au niveau desquels l’expression phénotypique de l’ensemble des
    traits masculins est bloquée par manque du récepteur requis.
  • Dans ce cas de figure, on constate un excès d’eau dans l’organisme, et corrélativement une dilution des sels minéraux.
  • Ainsi, une
    augmentation de 1 % seulement de l’osmolarité sanguine suffit pour entraîner
    un accroissement de concentration en ADH de 1 pg/ml, quantité suffisante pour
    modifier significativement le débit urinaire.

Les trois peptides formés (angiotensine I, II et III) ont
différents effets biologiques dont les plus importants sont ceux de
l’angiotensine II (figure 9-12BC). 2) Contrôle de production
Différents facteurs interviennent dans le contrôle de la production
d’aldostérone. Les parathyroïdes sont présentes à partir des amphibiens
et paraissent absentes chez les poissons.

2. Glandes endocrines et hormones des

La
seconde, la Macula densa, se situe sur la partie distale du néphron
jouxtant le vaisseau afférent. Les cellules de la Macula densa sont
sensibles à la concentration en sodium du tubule rénal et peuvent induire, en
fonction de ce paramètre, une production de rénine des cellules
juxtaglomérulaires. Les deux stimuli efficaces, diminution de pression
artérielle (volume) et diminution de teneur en Na du tubule, peuvent agir
simultanément ou indépendamment l’un de l’autre. L’aldostérone
1) Effets biologiques
Stéroïde produit par le cortex de la surrénale, l’aldostérone (figure 9-9) induit essentiellement une augmentation de la
réabsorption de Na+ au niveau rénal.

Les variations de température saisonnières paraissent également
influencer sa production, ce qui aboutit à une augmentation du métabolisme de
base en période froide et à une diminution en période ultramaxtestoenhancerpills chaude (figure
9-8). Le mécanisme d’activation des récepteurs des TGF est complexe et loin
d’être clairement défini. Il ferait intervenir en cascade 3 types de
récepteurs différents (fig.9-39).

Sources et effets des principales hormones

Les amphibiens, les reptiles, les oiseaux et les
mammifères possèdent ainsi des zones réceptrices aux UV au niveau desquels
s’effectue la synthèse (peau chez l’homme, pattes chez les oiseaux, oreilles
chez les lapins). Les poissons paraissent capables d’élaborer la vitamine sans
l’aide des UV. Une fois formée ou assimilée, la Vit D3 est
transportée par une protéine sérique au niveau du foie où elle peut être
hydroxylée en 25-hydroxycholécalciférol.

Hormone (généralités)

Des effets non géniques peuvent par
ailleurs être pris en considération dans certains cas, tels que modification
de dégradation ou de stockage de la protéine, modification d’activité par
phosphorylation ou glycosylation. L’hormone corticotrope (adrénocorticotrophine ou ACTH, initiales de Adréno CorticoTrophic Hormone, terme utilisé par les auteurs anglais), est sécrétée par l’hypophyse, et plus précisément par sa partie antérieure (lobe antérieur). Cette hormone est stimulée par l’hypothalamus (zone du système nerveux située en plein centre du cerveau), et par l’hormone antidiurétique.

1. Généralités introductives

Le ligand se fixerait
d’abord sur un récepteur de type III, ce qui permettrait son transfert
successivement sur un récepteur de type II puis sur un récepteur de type I
possédant une activité kinasique mais incapable de fixer directement le
ligand. L’activité kinasique serait induite par phosphorylation de résidus
sérines du récepteur I par le récepteur II suite à un phénomène de
recrutement. L’activité kinasique du récepteur I serait responsable de la
phosphorylation de constituants cytoplasmiques à effets biologiques (fig. 9-39). La fixation du ligand entraîne une dimèrisation des
récepteurs monomèriques.

→ se comportent comme les hormones peptidiques

Une stimulation des récepteurs provoque l’agrégation des
mélanosomes et un éclaircissement alors qu’une stimulation b
adrénergique assure leur dispersion et l’assombrissement. Hormones de l’adénohypophyse
L’adénohypophyse présente, dans ces différentes parties, différents types
cellulaires ayant fait l’objet de nombreuses classifications histologiques
souvent complexes et parfois contradictoires. Des techniques d’immunovisualisation
récentes permettent de classer ces cellules en différents types fonctionnels,
suivant le type d’hormones qu’elles produisent, toutes ces hormones étant de
nature protéique. La pars intermedia est bien développée chez les
poissons, les amphibiens et les reptiles ; elle est absente chez les oiseaux et
très rudimentaire chez l’homme où elle disparaît pratiquement à la puberté
par incorporation de ses cellules dans le lobe antérieur.

Régulation de la concentration sanguine des hormones

Elle paraît également provoquer, à doses importantes, une certaine
vasoconstriction, principalement des régions splanchniques et rénales. L’effet
antidiurétique de l’hormone est présent, plus ou moins marqué, chez tous les
tétrapodes. Chez les poissons, curieusement, seul un effet inverse,
diurétique, a été décrit. Il est particulièrement spectaculaire chez les
poissons pulmonés au niveau desquels la mesotocine, une hormone de la famille
de l’ocytocine, est également active.

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